Coiffures-africaines.com a pour ambition de montrer que les coiffures africaines peuvent aller à tout le monde, quelles que soient la nature du cheveu, la couleur de peau ou la forme du visage. C’est une vitrine de photos fournie, où Founty, la coiffeuse, expose ses modèles dans un écrin soigné, aux couleurs chaudes.
Envie de vous faire des tresses africaines, mais vous craignez que ça ne vous aille pas ? Pas de panique, Coiffures-africaines.com est là pour vous montrer qu’au contraire, elles peuvent très bien vous mettre en valeur. Quelque soit votre nature de cheveu, votre couleur de peau, la forme de votre visage, votre style... et même votre sexe ! Ce site simple, efficace et bien agencé, présente les modèles de la coiffeuse sénégalaise Founty, qui vit en France. C’est une vitrine de photos et de conseils, présentée sur un fond chaud : un dégradé jaune-orange-marron, imprimé de quelques masques africains.
Passé la page d’accueil, qui vante l’universalité des coiffures africaines, on entre dans le vif du sujet. Les rubriques Coiffures et Galerie présentent pas moins de douze types de coiffures, comme les fameux rastamèches et tissages ou les très « tendance » twistées, roulées et tibalés/rastamèches (mélange de rasta et de « tresses collées »). Une place est aussi réservée au « postiches », au « naturel » et aux « Hommes ». Le tout étayé par des photos de qualité où l’on voit clairement les tresses et rastamèches. Pour démontrer qu’elles vont à tout le monde, les modèles sont noirs, blancs ou basanés, jeunes, très jeunes et moins jeunes. On compte 51 clichés dans la rubrique Coiffures, accompagnés d’une sorte de fiche technique qui répertorie leur particularité, leur temps de réalisation (de 15 minutes à six heures) et leurs avantages. Les avantages des coupes africaines sont d’ailleurs développés dans une rubrique spéciale.
Des photos avant/après
La Galerie « encore plus de coiffures » et, surtout, une sous-rubrique avant/après qui permet de réaliser, à 20 reprises, « la transformation qu’apporte la coiffure africaine ». Une autre sous-section donne un aperçu des « mille et une façons » de porter le foulard, « élément indispensable dans la tenue traditionnelle africaine ». Vous craquerez certainement en découvrant la jolie fillette qui porte des rastamèches ornées d’un foulard noué de six façons différentes.
Coiffures-africaines.com donne aussi quelques clés, en cliquant sur Bon à savoir, sur les étapes à suivre lorsque l’on se défrise et sur la façon dont il faut prendre soin de ses « rajouts » ou de ses propres cheveux. Très pédagogue, elle explique que « Tresser est un art qui ne s’improvise pas ». Et de préciser : « Tresser nécessite d’avoir une agilité des doigts. Il faut également de la souplesse afin d’attraper les cheveux sans les casser, sans les abîmer, ni faire souffrir la personne qui se fait coiffer. Le cuir chevelu et sensible, je dois donc en prendre soin. Les rastamèches et les tresses ne doivent pas être trop serrées ». L’idée étant d’être belle sans passer par la case souffrir, voire se dégarnir...